Le 8 mars il y a cinq ans était un jour pour les souvenirs.
D'abord, l'humain se leva tôt et donna à manger aux chats du cabanon quand j'étais toujours en train de me promener ou de chasser -- je manquai le déjeuner. Il restra donc et prit son petit-déjeuner.
Il sortit de nouveau et je passais du temps sur ses genoux. Lorsque j'étais là, ma sœur Rico cherchait une boîte dans laquelle elle put entrer. On ignorait alors la raison. Nous les chats aimons les boîtes et nous n'avons pas besoin de raison particulière.
Pour continuer sa journée, il dut rentrer. Il vit mon frère Le Valet à l'étagère en haut. Quand mon frère sauta dans ses genoux, je partis, et l'humain nous quitta.
Il revint l'après-midi pour nous nourrir encore. Rico avait mis au monde sa portée des chatons -- tout au centre du cabanon, sur la couverture (de lit). ! J'avais presque un an et comme il m'avait déjà stérilisée, je n'étais pas enceinte et je n'aimais point les chatons. Je partis donc du cabanon.
Il essaya encore une fois de me porter dans le cabanon mais je me sauvai.
L'humain de voulait pas que je parte de la ferme comme l'avait fait mon père l'année avant donc il dut me nourrir où il me trouva. Parfois il me nourrit sur les balles de foin près du cabanon ; parfois dans la grange ; parfois là où il me trouva. Il me vit dormir sur les balles de foin à travers le chemin ; quelques semaines plus tard, il me montra qu'il allait me nourir là. Il essayait de convaincre aux autre chats d'y venir manger. Les nouveaux habitants de la maison rouge démoliraient finalement le cabanon et la grange. Il nous nourrit nous tous près des balles de foin qu'il me montra ce jour-là.
Les photos : moi, entre les balles de foin ; Le Valet et Truffe avec les balles de foin ; Rico, à l'étagère du cabanon
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